Voie droite, esprit courbe

Courbevoie, partenaire de l'école de la deuxième chance de Clichy

 

Issues d’un concept européen, les Écoles de la deuxième chance proposent aux jeunes de 18 à 25 ans sans diplôme une remise à niveau, des stages en alternance en entreprise et un suivi personnalisé. Quand on sait que 150 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans diplôme ni emploi, on voit bien l’intérêt d’un tel dispositif. Dans les Hauts-de-Seine, 3 000 jeunes quittent chaque année le système scolaire sans diplôme ni formation professionnelle _ une situation particulièrement préoccupante dans la boucle Nord, où 16 % des 18-25 ans restent au bord de la route.

Or, s’il existe déjà seize écoles de la deuxième chance en France réparties sur quarante-trois sites, les Hauts-de-Seine n’avaient pas encore d’implantation. Grâce au partenariat entre les collectivités locales et la Chambre de commerce et d’industrie du département, cette situation va changer : la première École de la deuxième chance du département ouvrira ses portes très prochainement à Clichy-la-Garenne.

Ce projet est porté par 11 communes, Asnières Bois Colombes, Clichy Colombes, Courbevoie,  La Garenne, Gennevilliers, Levallois, Neuilly et Puteaux, Villeneuve la Garenne, par le département des Hauts-de-Seine et la région Ile-de-France, en partenariat avec la CCIP 92. Il bénéficie en outre de financements du Fond de solidarité européen et de l’Etat à travers le Fond d’investissement social.

Cette école accueillera 150 à 200 élèves chaque année, avec un enseignement fondé sur une approche pédagogique individuelle, et qui repose sur un partenariat avec les entreprises, les centres de formation, les organisations professionnelles, les spécialistes de l'insertion, les acteurs du secteur sanitaire et social et l'Education nationale. Les enseignements dans les matières générales seront dispensés en petits groupes, avec sept à neuf stages en entreprise à réaliser en alternance avec l'école. Les élèves bénéficieront d'un statut de stagiaire et seront rémunérés entre 300 et 600 € mensuels.

Selon le rapport de la mission parlementaire sur les Écoles de la deuxième chance, parmi les jeunes ayant achevé leur cycle, 61 % ont connu une « sortie positive » : un accès à un emploi dit durable (CDI ou CDD d’au moins six moins) pour 32 %. Espérons que ces taux soient dépassés dans notre département, grâce aux partenariats tissés de longue date entre collectivités, acteurs économiques, de la formation et de l'éducation. 

L'avenir du stade municipal de Courbevoie - la partie festive de la Cité des Loisirs

La Cité des loisirs est un ambitieux programme lancé durant la mandature 2001-2008 par Jacques Kossowski, qui vise à offrir aux Courbevoisiens des espaces modernes et adaptés à la nouvelle démographie de la ville, leur permettant de pratiquer une multitude de sports dans de très bonne conditions, que ce soit dans la pratique quotidienne ou la compétition, d’accéder à la culture, à toutes les cultures, mais aussi de pratiquer des activités culturelles variées, de mettre en œuvre leur engagement associatif, et de partager des moments de convivialité. En effet, le stade municipal, construit en 1932 et qui abritait la salle des fêtes, une salle de réunion, le centre de loisirs et des locaux associatifs (auxquels s’ajoutaient des gradins et des salles, vétustes, pour certains sports dans un bâtiment le long des « voies ferrées ») présentait des signes évidents de vieillissement du bâti et n’était plus adapté aux besoins actuels d’une population qui a connu une forte croissance démographique, et dont les attentes en termes d’activités changent également. Quant à l’espace Carpeaux, sa salle de spectacles rencontre un tel succès qu’elle se trouvait déjà à l’étroit.

C’est pour prendre en compte ces différents besoins qu’a été conçu un programme global de Cité des Loisirs visant à offrir, sur un même site, de très nombreuses activités culturelles et sportives aux Courbevoisiens. Ce projet de Cité des loisirs a été scindé en deux programmes: la partie sportive, dite « Espace Jean-Pierre Rives » a été achevée en 2007 (à droite sur la photo ci-dessous), et la conception de la partie festive et va être lancée cette année pour une inauguration fin 2013-début 2014 (à l’emplacement des bâtiments actuels à gauche et au fond).

La première partie de la Cité des loisirs, la partie sportive, a été inaugurée le 30 juin 2007. L'espace Jean-Pierre Rives est un vaste ensemble érigé sur 6 niveaux, qui permet sur une surface totale de 25 283 m², la pratique d'une quinzaine de disciplines différentes, depuis le tennis de table jusqu’au rugby, en passant par l’escrime, le judo, le football, la gymnastique, l’athlétisme ou bien encore l’aviron. Il comprend notamment plusieurs gymnases, des terrains de rugby et de foot, une piste d'athlétisme et des salles de sports, sans compter les clubs house, le restaurant et la capacité d’accueil des sportifs avec des chambres. Ce bâtiment, très apprécié des Courbevoisiens deouis sa mise en service, accueille en permanence des activités ou des manifestations sportives, et la grande manifestation Vitaville qui met en avant toutes les activités associatives, notamment sportives, de notre ville.

 
Aujourd'hui, c'est le programme pour la partie festive de la Cité des Loisirs qui est lancé, avec deux bâtiments qui prendront place à l'emplacement du bâtiment historique du Stade municipal, dont la façade pourra être conservée, et du gymnase Colombes. L’objectif est de concevoir des bâtiments qui remplissent deux objectifs : créer un lieu de vie et de convivialité dont Courbevoie ne dispose pas à l’heure actuelle, d’une part ; offrir des espaces pour les activités associatives et culturelles des habitants, d’autre part. Les grandes lignes de ce projet ont été présentées au Conseil municipal du 9 février 2011, ainsi qu’au Conseil de quartier Hôtel-de-Ville, que je préside, le 2 février. Une présentation détaillée sera faite lorsque le programme sera définitivement arrêté, mais les grandes lignes ont déjà été annoncées.

Le programme du bâtiment « Stade » a été conçu pour garantir une utilisation par tous les Courbevoisiens, de tous les âges, à toutes les heures de la journée, pour satisfaire des besoins différents, mais dans une convivialité partagée. Il comprendra trois salles : une grande salle de 1000 places, avec des gradins rétractables, qui sera destinée aux spectacles comme aux grandes manifestations, et représentera deux fois et demi la surface de la salle des fêtes actuelle ; une salle de 300 places, avec deux studios d’enregistrement à proximité, qui permettra une ouverture aux musiques actuelles ;  une salle de 150 places destinées aux cérémonies officielles comme privées des habitants. Chaque salle pourra être utilisée avec un service traiteur et sera polyvalente dans ses usages. Une agora viendra compléter cet ensemble : lieu de vie, de passage, de rencontre, elle comprendra une billetterie, un café, un espace médias, et le bureau information jeunesse (BIJ).

Le bâtiment Colombes sera dédié aux activités à proprement parler municipales. Il comprendra le nouveau gymnase, un centre de loisirs pouvant accueillir jusqu’à 140 enfants, des locaux associatifs répondant aux besoins des associations comme la Croix Rouge ou la Protection civile (et bien d’autres), la cuisine municipale et des espaces de restauration.

Un parking de 300 places viendra compléter l’offre existante de stationnement des parkings Carpeaux et Jean-Pierre Rives. L’espace public sera traité avec une attention toute particulière pour mettre en valeur le quadrilatère des équipements publics de la ville – une liaison pourra d’ailleurs être envisagée entre les deux bâtiments. L’objectif est bien de créer une vraie vie de quartier dans cet espace central entre le cœur de ville et le quartier de Bécon, à mi-chemin des gares de Courbevoie et Bécon-les-Bruyères, accessible via de nombreuses lignes de bus et des circulations douces (création d’emplacements pour vélos).

Ces deux bâtiments seront réalisés selon la procédure de conception-réalisation. Une fois le projet affiné et présenté à tous, un concours sera lancé. Une fois le projet définitif retenu, 24 mois de travaux devraient être nécessaires, ce qui signifie une inauguration fin 2013-2014. Concernant le parti pris architectural, une grande liberté sera laissée dans le cadre du concours, avec néanmoins un accent mis sur la question de la façade, qui pourra être conservée ou bien alors démolie et reconstruite à l’identique. Pour ma part, je pensequ'il serait préférable de conserver la façade historique du début des années 1930, avec ses anneaux olympiques. Elle constitue un signal urbain important pour les Courbevoisiens et porte le souvenir des nombreux exploits dont le stade a été le théâtre (en matière d’aéronautique notamment, sans parler de cette spécificité de cynodrome). Et je souhaite d’autant qu’elle soit maintenue que l’architecture contemporaine a montré à de nombreuses reprises qu’il était possible de réaliser de très intéressantes greffes architecturales, et que cela ne me semble pas une limitation à la créativité des équipes, mais bien plutôt un aiguillon.

En 2014, la Cité des loisirs achevée deviendra un véritable poumon pour notre ville et ses habitants, un des éléments forts de ce coeur de ville auquel nous voulons rendre tout son dynamisme. En ayant la capacité de réunir tous les Courbevoisiens, quels que soient leurs centres d'intérêt, il deviendra un symbole fort de notre qualité de ville.

Renouveau de La Défense : la tour Carpe Diem

  
Première tour issue d'une démolition-reconstruction dans le cadre du plan de renouveau de La Défense, première tour à obtenir la double certification environnementale française et américaine (HQE et LEED), la Tour Carpe Diem sera la première tour qui intègre pleinement les contraintes d'urbanisme fixées par la ville de Courbevoie pour mieux relier le quartier d'affaires aux autres quartiers de Courbevoie, urbaniser le circulaire et créer une vraie mixité d'usages et une animation en pied de tour. C'est ce qu'a rappelé ce lundi 14 mars 2011 Jacques Kossowski, député-maire de Courbevoie, qui visitait le chantier en compagnie de Joëlle Ceccaldi-Raynaud, députée-maire de Puteaux et présidente de l'EPADESA, ainsi que de professionnels de l'immobilier et de la finance.

Ce soin tout particulier accordé à la création d'espaces commerciaux de pied de tour, ainsi que la réalisation d'un aménagement extérieur qui permettra de mieux relier le parvis et le circulaire vers Courbevoie, explique en grande partie que le permis de construire n'ait fait l'objet d'aucun recours, ce qui est extrêmement rare. La livraison de la tour est prévue pour fin 2012.

Pour mémoire, la tour Carpe Diem vient remplacer l'ancien édifice France Télécom des années 1970. Haute de 162 mètres pour 38 étages, elle comptera 44 000 m² de bureaux (dont 350 m² de commerces) pouvant accueillir 3 000 personnes. Ce projet, porté par deux investisseurs, Aviva et Predica, pourra accueillir un ou plusieurs locataires. Le projet compte, en plus des commerces, un café, un auditorum, et deux jardins d'hiver, dont un suspendu !

Pour ce qui est de son aspect extérieur, laissons la parole à son architecte, l'américain Robert Stern : « La tour Carpe Diem est à la fois ouverte vers le parvis de La Défense et vers le tissu urbain plus ancien de Courbevoie. A l'inspiration de cette double orientation, son architecture présente deux visages à facettes. Tel un tableau cubiste, ces dièdres reflètent en même temps, les lumières du matin et de l'après-midi parisiens. De nuit, la tour Carpe Diem sera un halo de lumière dans la ville lumière. » Rien que ça !

En ce qui concerne l'excellence environnementale, le croquis ci-dessous détaille quelques uns des aménagements et options techniques retenus, comme les façades inclinées pour améliorer le gain thermique et optimiser la lumière du jour, l'installation de pompes à chaleur utilisant de la nappe phréatique, la récupération des eaux de pluie et des eaux grises, etc.

 
Après la réhabilitation de la Tour First, devenue la plus haute de France, la construction de cette tour reconnue pour ses qualités architecturales, urbaines, environnementales, mais aussi "professionnelles" montre le dynamisme retrouvé du 1er quartier d'affaires européen, un dynamisme alimenté aussi par une attention plus soutenue à l'aménagement urbain et à l'animation, une vision portée par la Communauté d'agglomération Seine-Défense qui réunit Courbevoie et Puteaux.

 

Prochaine soirée-débat du Club 89 le 22 mars sur le thème des libertés et des sécurités dans l'espace numérique

 
 
Dans le cadre de la réflexion pour l’année 2011, « Nouvelles libertés, nouvelles sécurités », le Club 89 organise une série de soirées-débats mensuelles, réunissant des personnalités et experts de la société civile ainsi que de la sphère publique, qui viendront débattre sur des thématiques variées, dont les enjeux sont particulièrement cruciaux pour l’avenir de notre société. La teneur de ces soirées-débats, les pistes de réflexion et d’action qu’elles auront ouvertes, seront diffusées à travers des revues numériques.

 

 

Vous êtes chaleureusement convié(e) à la soirée-débat du mardi 22 mars 2011 à 19h15 au Divan du Monde, 75, rue des Martyrs 75018 Paris (entrée gratuite), qui aura pour thème :

 

Le Web : tout est-il si NET ?

Intervenants :

- Jean-Marie COLOMBANI, co-fondateur et directeur de publication du magazine en ligne Slate.fr

- Marc MOSSÉ, Directeur des affaires Publiques et Juridiques de Microsoft France

- Justine ATLAN, Directrice de l'association e-enfance

- Benjamin SONNTAG, Cofondateur de la Quadrature du Net (Organisation de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet)

 

Et, en présence de :

 - Benoist APPARU, secrétaire d’Etat chargé du Logement, Président du Club 89

__________________________________________________________________________________

REPONSE :

Merci de retourner ce coupon-réponse avant le jeudi 17 mars 2011 - à l’adresse suivante : Club 89, 60, rue du Cherche-Midi 75006 PARIS.  Vous pouvez également répondre par mail : [email protected]. 

Nom :……………………………………………     Prénom :……………………………………………….     

Téléphone : ……………………………………     E-mail :………………………………………………...

 

□ Je participe à la soirée-débat du 22/03/2011.

    □ accompagné(e) de … personnes. 

L'immobilier en folie en région parisienne

 
Le marché de l'immobilier en Ile-de-France est reparti à la hausse, après un trou d'air finalement très bref. Le prix du mètre carré atteint 7330€ en moyenne en 2010 sur Paris, et a dépassé la barre des 5000 € dans la région. Nous avons atteint des prix qui ne sont plus socialement et même économiquement viables. Ce n'est pas la Fondation Abbé Pierre qui le dit, c'est ... le président de la Chambre des notaires de Paris, Christian Lefebvre ! Il a ainsi déclaré, dans une tribune publiée dans Les Echos : "Il est urgent de stabiliser le prix des logements, comme c'est le cas en Allemagne depuis longtemps, et de revenir à une corrélation avec les revenus."

A Courbevoie, l'une des plus fortes hausses de la région, les prix ont augmenté de 15,7 %. Cette hausse pourrait nous réjouir, car elle est le signe de l'attractivité de notre territoire, et la reconnaissance du travail entrepris par l'équipe municipale pour améliorer toujours la qualité de vie. Mais elle nous inquiète, car les effets d'éviction sont nombreux, pour les jeunes, pour les plus âgés, pour les plus modestes - mais aussi pour des professions où les salaires ne sont pas très élevés et dont nous avons fortement besoin - je pense notamment aux aides soignantes ou aux puéricultrices. Courbevoie est une ville qui a su préserver une certaine mixité sociale, à laquelle nous sommes attachés, et nous devons préserver un accès large, pour des populations différentes, au logement dans notre ville. Certes, il y a encore des constructions dans notre ville, que ce soit en logement social (http://jeanspiri.typepad.fr/blog/2010/10/courbevoie-une-autre-vision-du-logement-social-.html) ou avec des programmes comme celui des Terrasses de Seine (illustration ci-dessus). Mais le foncier se raréfie. La commune, seule, ne pourra pas faire grand chose, si ce n'est, comme nous l'avons fait dans notre PLU, inscrire des règles concernant la mixité et le logement social.

L'approche globale du logement en Ile-de-France passe d'abord par une action sur l'offre. Cela signifie la mise en construction de nombreux logements, sociaux ou pas, et pas seulement dans des communes très éloignées du centre... La région doit jouer, aux côtés de l'Etat, un rôle qu'elle a visiblement oublié ces dernières années. Sans compter qu'il faut également que le logement social Il faut aussi mieux exploiter le foncier constructible : aujourd'hui, certains de nos PLU sont des obstacles à cette progression de l'offre, et il ne faut pas hésiter à mettre en oeuvre des solutions innovantes, comme l'avait d'ailleurs souligné le Secrétaire d'Etat chargé du Logement et de l'Urbanisme, Benoist Apparu (http://jeanspiri.typepad.fr/blog/2011/01/lib%C3%A9rer-lurbanisme-de-la-r%C3%A9gion-parisienne-1.html). Enfin, il est évident qu'il faut faciliter la vente et l'achat, en réduisant les droits de mutation et tous les freins à la mobilité des ménages, ainsi que mieux sécuriser la location.

Ensuite, il faut bien sûr agir sur les capacités financières des ménages. Mais le faire intelligemment, car les politiques de crédit facile ont également joué un rôle important dans l'augmentation irraisonnée des prix. Le nouveau prêt à taux zéro, dit PTZ +, mis en place par Nathalie Kosciusko-Morizet et Benoist Apparu, paraît ainsi mieux remplir les objectifs d'accession à la propriété sans pour autant présenter d'effets pervers.

Enfin, il y a un enjeu social majeur. Selon l'observatoire CréditLogement, acheter sa résidence principale coûte en moyenne 4,6 années de revenus en 2010, contre 3,2 seulement fin 2000. En remontant plus loin sur le temps, un jeune couple loue ou achète aujourd'hui, avec le même niveau de revenus, une surface trois fois moindre à Paris ou dans sa proche banlieue.  La cherté des logements angoisse les jeunes, qui désespèrent de devenir propriétaires, et pénalise l'attractivité économique du pays comme de la métropole. C'est une situation très préoccupante qui participe de la jeunesse française. Et à laquelle il faut apporter des réponses spécifiques, notamment en termes de type d'offres, de soyutien tout au long du parcours locatif qui va du logement étudiant au premier appartement, puis vers l'accession à la propriété.

Au niveau local, nous devons nous projeter à un niveau de territoire plus vaste que celui de la commune. Le logement, et plus particulièrement la diversité de l'offre, est un des compétences déléguées à la communauté d'agglomération Seine-Défense que nous avons constituée avec Puteaux. Par ailleurs, nous réfléchissons dans le cadre du SIEP des deux Seine à la diversité de l'offre de logement et aux  parcours locatifs sur l'ensemble du territoire des cinq communes du syndicat, afin de bien identifier les priorités d'action. Mais une telle politique d'offre n'est possible qu'en lien permanent avec l'Etat et la région. Il faut que tous les partenaires se mettent autour de la table : il y a un problème spécifique qui concerne l'Ile-de-France, ne faisons pas semblant de l'ignorer !

Les cantonales à Courbevoie, c'est bientôt !

 
Les 20 et 27 mars prochains se déroulent les élections pour élire le conseiller général du canton sud de Courbevoie. Ces dates sont importantes à retenir, car cette élection est aussi importante pour notre vie quotidienne que pour les grands projets de notre ville !

Pour notre quotidien, car le Conseil général joue un rôle majeur en matière de solidarité, que ce soit pour les personnes handicapées, pour ceux qui cherchent un emploi ou en insertion, et pour tous les âges de la vie, depuis la politique de la petite enfance jusqu'à la prise en charge des personnes âgées dépendantes.

Pour l'avenir de notre ville, car le Conseil général participe au financement de projets aussi importants que le tramway T2, le réaménagement du boulevard de la Mission Marchand,  la transformation des quais de Seine en promenade verte.

Avec notre candidate, Marie-Pierre Limoge, nous sommes assurés que la ville et le département parleront d'une seule voix, au service des Courbevoisiens. C'est ce qu'ont bien compris les très nombreux militants, membres d'un parti ou apolitiques, citoyens engagés comme nouveaux venus, qui soutiennent cette candidature.  Le programme, que nous avons distribué ce week-end, reprend les nombreux engagements pour Courbevoie de notre candidate : la réhabilitation du collège Alfred de Vigny, le réaménagement du boulevard de Verdun, les structures souples et innovantes de garde d'enfants, le soutien du département aux deux projets de résidences pour personnes âgées dépendantes et l'aide à domicile, la poursuite de notre politique de scolarisation des enfants handicapés, avec la création d'une classe pour les jeunes enfants autistes, la création d'un réseau entre les entreprises de La Défense et les établissements de formation pour améliorer l'orientation et l'insertion, sans compter les engagements pour que le département soutienne notre ambition pour le coeur de ville et pour l'espace public de La Défense.

Ce sont des propositions concrètes et réalistes. Ce sont les seules propositions qui sont faites aux Courbevoisiens. Les principaux candidats de l'opposition ne font que s'affirmer contre : contre l'EPADESA, contre la majorité actuelle du Conseil général, contre les tours de La Défense et même....contre la politique de fiscalité modérée et de faible endettement du Conseil général ! Leurs seules propositions sont des projets qui existent déjà, ou dépendent d'autres échelons, la région, l'Etat, bref tout sauf le Conseil général.

Les Hauts-de-Seine sont un département qui a toujours su allier l'innovation, l'excellence, avec une réelle solidarité. Pour renforcer cette action, parfaitement complémentaire de l'action menée dans notre ville par l'équipe conduite par Jacques Kossowski, n'hésitez pas : le 20 mars, votez pour Marie-Pierre Limoge ! 

Arena 92 : le projet de Christian de Portzamparc

Ce mardi 1er mars a eu lieu la réunion de présentation du projet de Christian de Portzamparc pour l'Arena 92, qui sera située à Nanterre derrière la Grande Arche. Voici des extraits de la présentation qui a été faite, avec les illustrations présentées par le cabinet d'architectes.

 

Petit rappel : l’Arena 92 pourra revêtir diverses fonctions grâce à son toit ouvrant, sa scène modulable et sa capacité d’accueil variable allant de 6 000 à 40 000 places (cette capacité d’accueil de 32 000 places en configuration sportive en fera la 3ème plus grande structure d’Ile-de-France, après le Stade de France et le Parc des Princes - rappelons d'ailleurs que Nanterre était candidate à l'époque pour accueillir le Stade de France). L'Arena 92 accueillera le Racing-Metro 92, club de rugby aux ambitions européennes, de grands tournois sportifs, des concerts, conférences, événements et rencontres de toutes sortes. Arena 92 a ainsi  pour vocation de renforcer et compléter les 12 sites pour l’organisation de l’Euro 2016 de football. L'ouverture du site est prévue pour la saison 2013-2014.

 
 
 
  
L'intérêt de l'Arena est évident pour les communes concernées, dont Courbevoie, le département comme pour la métropole. Situé sur Seine-Arche à Nanterre, au pied de la Grande Arche de la Défense, il sera accessible à 5 millions de Franciliens, grâce au réseau de transports en commun existant : RER A, Tramway T2, Métros 1 et 15, lignes de bus. Situé au cœur de la Défense, Arena 92 serait un atout pour le secteur en favorisant le développement économique et l’emploi. Les retombées économiques sont estimées à près de 300 millions d’euros avec la création de plus de 3 000 emplois grâce à l’ouverture de restaurants, de commerces ainsi que de locaux de bureaux et de loisirs sur environ 40 000 m². Les recettes fiscales annuelles pour les collectivités locales sont estimées à 5 millions d’euros. Ce projet viendrait diversifier les fonctions du secteur et jouer un rôle de rotule urbaine entre les différents programmes envisagés sur la Défense et les communes voisines. L’intérêt que porte Courbevoie à ce projet paraît donc évident. Il donnera un élan incontestable aux collectivités impliquées dans cette initiative en insufflant une nouvelle dynamique à la culture et au sport.  Ce projet sera également l'occasion pour l'EPADESA de mener une opération de réaménagement des jardins de l'Arche, afin de créer un nouvel espace public attractif et animé qui reliera l'Arche à l'Arena. Il faut d'ailleurs souligner que toutes les parties prenantes du projet sont d'accord sur son opportunité : les maires concernés, quelle que soit leur couleur politique, le département, l'EPADESA. La ville de Courbevoie, que ce soit par la voix de son maire, Jacques Kossowski, de son adjoint au maire chargé des sports, Stéphane Vagner ou de son conseiller général Daniel Courtès, s'est pleinement investie sur ce projet.

 

 
 
 
Cette réunion a aussi été l'occasion d'aborder des questions telles que le nombre de places de parking, l'accessibilité à tous du site, l'impact sur l'environnement, ou encore l'acoustique, apportant beaucoup de réponses aptes à rassurer ceux qui s'inquiétaient d'éventuelles nuisances pour le voisinage, même lointain. Ce projet, qui ne coûtera pas un centime à la collectivité, est une opportunité d'animation exceptionnelle pour le site de La Défense et les communes voisines. Surtout si nous savons bien adapter l'espace public alentour pour créer de nouvelles liaisons, et permettre à tous d'en profiter.

Merci à Stéphane Fichant, conseiller municipal de Courbevoie, qui suit avec attention ce dossier, et fait justement entendre notre voix tout au long du processus de concertation.

 

Tous au numérique le 8 mars en Ile-de-France !

Le 8 mars, l'Ile-de-France passe au tout numérique ! Cela signifie que le 7 à minuit, la diffusion de la télévision analogique par voie hertzienne s'arrête : ne demeurera que la diffusion numérique. Ce passage au tout numérique permet de passer de 6 chaînes gratuites aux 19 chaînes gratuites de la télévision numérique terrestre (TNT) - plus 10 chaînes payantes, 5 en haute définition gratuites, et 4 chaînes locales gratuites, d'apporter une meilleure qualité d'image et de son, et de permettre le déploiement de nouveaux services comme la haute définition. Ce passage, préparé sur le plan technique par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, a fait l'objet de plusieurs campagnes de communication de Tous au numérique  www.tousaunumerique.fr/.

Si vous recevez la télévision par l'ADSL ou le satellite, vous n'êtes pas concernés. Si vous la recevez par le câble de l'immeuble, en service antenne, c'est votre syndic qui doit effectuer les démarches pour que le câblo-opérateur vous donne accès, gratuitement (c'est la loi), aux 19 chaînes de la TNT gratuite. Si vous recevez la télévision par antenne râteau, vous êtes concernés - vous ou le syndic de votre immeuble. Que faire ? Vous devez tout d'abord vous assurer que votre télévision est équipée pour recevoir la TNT : toutes les télévisions vendues depuis mars 2008 sont équipées ; pour celles qui datent d'avant (postérieures à 1981), il faut acheter un adaptateur, dont les premiers prix se situent autour de 25 euros. Un test simple : si vous n'êtes pas encore équipés, vous voyez défiler un bandeau sur votre écran qui vous indique qu'il faut le faire !

Le 8 mars, si vous n'avez plus la télévision alors que vous êtes équipés, il faudra effectuer une recherche de chaînes pour que la télévision reconnaisse les nouveaux canaux de la TNT. Si, même après cette opération, vous avez des problèmes, il faut vérifier qu'il ne s'agit pas d'un problème d'antenne, et, si le problème persiste, contacter Tous au numérique au 0 970 818 818 (prix d'un appel local).

Ces opérations ne sont pas toujours si simple à effectuer. C'est pourquoi le Gouvernenement a prévu, au-delà de l'aide financière pour les plus modestes, une aide humaine pour les plus de 70 ans et les personnes handicapées. En appelant le 0 970 818 818 (prix d'un appel local), ils pourront avoir rendez-vous avec un installateur qui les aidera à faire les branchements. Attention : il faut bien prendre rendez-vous, et les personnes qui font du démarchage à domicile ne sont pas reconnues. Le service d'aide est gratuit !

C'est cette démonstration que nous avons réalisée le 17 février dernier, avec Fayçal Daouadji, délégué de Tous au numérique pour l'Ile-de-France, que je remercie, lors d'une rencontre organisée par le CCAS de Courbevoie, dont le président est Jacques Kossowski et la vice-présidente Martine Leventic. Je remercie d'ailleurs à cette occasion toute l'équipe du CCAS. Cette rencontre a été l'occasion de lever les inquiétudes des uns et des autres face à ce bouleversement, pour qu'il ne reste que les - très nombreux - aspects positifs de ce passage au tout numérique.

La solidarité est une des conditions majeures de la réussite de ce passage au tout numérique, qui a déjà eu lieu dans la moitié des régions françaises. C'est donc à chacun de s'en occuper pour lui-même, mais aussi pour ses voisins âgés, ou handicapés, ou des membres de sa famille. C'est une bonne occasion de montrer que la solidarité intergénérationnelle a un sens pour éviter la fracture numérique ! A Courbevoie, l'équipe municipale est pleinement mobilisée pour que la solidarité joue en plein et que tout le monde continue à avoir accès, gratuitement, à la télévision et aux innovations du numérique.

Médicament : tous responsables !

 
Le Ministre de la Santé, Xavier Bertrand, a ouvert, le 17 février dernier, des "Assises du médicament", dont les conclusions devraient être connues avant l'été. Cette initiative fait bien sûr suite à l'affaire du Mediator et vise à redonner confiance aux Français dans le système de sécurité sanitaire du médicament. Mais elles permettront d'aborder plus largement la place du médicament dans le système sanitaire français.

Car la France est le champion du monde, champion d'Europe de la consommation de médicaments par habitant. Ce système est bien sûr entretenu par les laboratoires pharmaceutiques. Mais il est aussi entretenu par les médecins avec une situation de surprescription de médicaments, contrairement à la plupart des pays où les ordonnances comprennent rarement plus d'un médicament. Il est également entretenu par les patients, qui ne comprendraient pas que les ordonnances soient désormais limitées, tant l'habitude a été prise de multiplier les remèdes. Enfin, ce système a été entrentenu par les pouvoirs publics, qui ont mis beaucoup de temps à dérembourser des médicaments inutiles - voire dangereux -, sans parler des faiblesses du systèmes de sécurité, et, de surcroît ont trop longtemps fait des concessions à l'industrie pharmceutique, sans prétexte de soutenir les entreprises nationales (qui le sont pourtant de moins en moins). Comme si la France devait développer son industrie pharmaceutique uniquement sur sa demande nationale...

Ces mauvaises habitudes ont des conséquences désastreuses sur nos finances publiques. La surconsommation de médicament coûte cher à l'assurance maladie. Le premier axe d'action a été la communication autour de certaines catégories de médicaments ( tout le monde se souvient des campagnes "les antibiotiques, c'est pas automatique !". Le deuxième axe a été l'instauration d'une franchise sur les boîtes de médicament, qui était censée permettre une réduction de la demande, et privilégier les grands conditionnements, ont surtout été perçues par les consommateurs comme une attaque de leur modèle - et non comme le moyen de le préserver... Le déremboursement des médicaments dont l'utilité médicale est presque nulle - et qui demeure très consommés, a été un troisième axe d'action  Quand on voit comme ces décisions de déremboursement ont été difficiles à prendre - et il faut saluer le courage de Xavier Bertrand qui fut le premier, en 2005, à oser proposer un déremboursement important de médicament au service médical réduit -, on se dit que la responsabilisation du patient-consommateur a encore des progrès à faire. 

Et cela est bien dommage. Car notre système d'assurance maladie n'a pas des capacités de financement infinies : ne pas dérembourser des médicaments déopassés ou inefficaces, c'est se limiter dans sa capacité à admettre au remboursement de nouveaux médicaments innovants. Chaque année, le remboursement de nouveaux médicaments coûte 1 milliard d'euros supplémentaire à la Sécurité sociale. Si nous ne déremboursons pas certains médicaments (comme d'ailleurs si nous n'arbitrons pas mieux entre les risques et les services médicaux), nous ne pourrons pas continuer éternellement à rembourser autantd e médicaments innovants, parfois très coûteux. C'est pourtant cela qui stimule l'innovation (qui peut paraître plus importante que l'importance de la demande nationale) et permet le progrès médical !  

Un tel comportement face au médicament peut donc avoir des conséquences sur la santé publique. Il existe noramment un phénomène peu connu, mais important : la iatrogénie médicamenteuse.  La iatrogénie médicamenteuse désigne les effets indésirables provoqués par les médicaments. Elle regroupe des symptômes très divers depuis la simple fatigue jusqu'à l'hémorragie digestive. La prise de médicaments s'est aujourd'hui banalisée et ces risques sont trop souvent sous estimés. Pourtant, les risques iatrogéniques sont évitables dans la majorité des cas. Il s'agit, par exemple, d'une erreur dans la prise du médicament ou d'une interaction entre les différents médicaments pris, qui peut arriver chez le patient comme à l'hôpital, et touche principalement les personnes âgées de plus de 65 ans. La iatrogénie médicamenteuse doit être distinguée des effets indésirables liés au médicament lui-même, qui sont indiqués dans la notice d'utilisation du médicament, ou des allergies. La iatrogénie médicamenteuse ne doit pas être sous-estimée : elle peut être une cause importante de décès, comme l'ont montré plusieurs études américaines notamment. L'Assurance Maladie et les médecins traitants ont donc décidé de mettre en place une prévention active des risques liés aux médicaments pour les personnes de plus de 65 ans. Mais le chemin sera long pour faire émerger de nouveaux usages parmi la population, même si la crise actuelle y participe bien involontairement.

L'émoition suscitée par la publication d'une liste de 77 médicaments sous surveillance devrait être relativisée. Outre les médicaments eux-mêmes, ce sont également nos usages qui peuvent devenir dangereux. C'est un sujet majeur de responsabilité pour les médecins et les pouvoirs publics, comme pour les patients eux-mêmes ! 

Arena 92 : saisissons notre chance !

 
Ce mardi 1er mars aura lieu la réunion de présentation du projet de Christian de Portzamparc pour l'Arena 92,  à 19h30 à L'Agora de Nanterre (20 rue de Stalingrad), à Nanterre. Vous pouvez consulter les détails sur ce projet sur le site http://www.debat-arena-nanterre.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=162:l-cest-le-genie-du-lieu-qui-decide-r&catid=12:actualites&Itemid=24.

Situé derrière l’Arche de la Défense, à Nanterre, l’Arena 92 pourra revêtir diverses fonctions grâce à son toit ouvrant, sa scène modulable et sa capacité d’accueil variable allant de 6 000 à 40 000 places (cette capacité d’accueil de 32 000 places en configuration sportive en fera la 3ème plus grande structure d’Ile-de-France, après le Stade de France et le Parc des Princes - rappelons d'ailleurs que Nanterre était candidate à l'époque pour accueillir le Stade de France). L'Arena 92 accueillera le Racing-Metro 92, club de rugby aux ambitions européennes, de grands tournois sportifs, des concerts, conférences, événements et rencontres de toutes sortes. Arena 92 a ainsi  pour vocation de renforcer et compléter les 12 sites pour l’organisation de l’Euro 2016 de football. L'ouverture du site est prévue pour la saison 2013-2014.

L'intérêt de l'Arena est évident pour les communes concernées, dont Courbevoie, le département comme pour la métropole. Situé sur Seine-Arche à Nanterre, au pied de la Grande Arche de la Défense, il sera accessible à 5 millions de Franciliens, grâce au réseau de transports en commun existant : RER A, Tramway T2, Métros 1 et 15, lignes de bus. Situé au cœur de la Défense, Arena 92 serait un atout pour le secteur en favorisant le développement économique et l’emploi. Les retombées économiques sont estimées à près de 300 millions d’euros avec la création de plus de 3 000 emplois grâce à l’ouverture de restaurants, de commerces ainsi que de locaux de bureaux et de loisirs sur environ 40 000 m². Les recettes fiscales annuelles pour les collectivités locales sont estimées à 5 millions d’euros. Ce projet viendrait diversifier les fonctions du secteur et jouer un rôle de rotule urbaine entre les différents programmes envisagés sur la Défense et les communes voisines. L’intérêt que porte Courbevoie à ce projet paraît donc évident. Il donnera un élan incontestable aux collectivités impliquées dans cette initiative en insufflant une nouvelle dynamique à la culture et au sport.  Ce projet sera également l'occasion pour l'EPADESA de mener une opération de réaménagement des jardins de l'Arche, afin de créer un nouvel espace public attractif et animé qui reliera l'Arche à l'Arena. Enfin, c'est un projet qui s'accompagne également de fortes préoccupations sociales, puisqu'il prévoit un volume d'insertion correspondant à 100 000 heures de travail ; un chiffre "exceptionnel" selon le maire de Nanterre Patrick Jarry.

Il faut d'ailleurs souligner que toutes les parties prenantes du projet sont d'accord sur son opportunité : les maires concernés, quelle que soit leur couleur politique, le département, l'EPADESA.

Tous... non, car il existe à Courbevoie une opposition qui sait dire non. A dire vrai, elle ne sait que dire non !  Sa stratégie est simple : refuser systématiquement tout projet d’avenir favorable à notre ville, refuser tout changement.

Pour justifier leur vote négatif sur le projet Arena 92, l'opposition n'a reculé devant aucune contradiction. Premier argument : situé entre deux cimetières, Arena 92 sera loin de tout. Deuxième argument : Arena 92 est très près du Faubourg de l'Arche, donc gênera les habitants. Mais ne voyez surtout pas de contradiction entre ces deux arguments !!

Pour répondre sérieusement, car malgré tout nous conservons notre sérieux, il faut rappeler que c'est un projet urbain global qui traitera l'accès à Arena depuis le parvis et la Grande Arche. Concernant l’impact sonore de l’équipement dans le voisinage, notamment lors des rencontres sportives et des concerts, il faut souligner que le projet bénéficiera de la note 3 de CERQUAL, organisme de certification en acoustique extérieure et intérieure qui garantit une bonne isolation acoustique, afin d'éviter toute nuisance. Enfin, nous resterons vigilants sur des questions comme le stationnement, même s'il faut souligner la bonne desserte en transports en commun du site.

Que c'est triste de ne jamais s'enthousiasmer... et de refuser de se projeter dans l'avenir ! Heureusement pour Courbevoie et les Courbevoisiens, nous savons saisir les chances qui s'offrent à nous, en cherchant toujours à en tirer profit sans nuire à la qualité de vie dans notre ville. C'est le même esprit qui anime notre action au niveau du département (cf. www.mariepierrelimoge.com/).